Hier soir en rentrant, je me suis précipité vers ma cage... tant je lui appartiens désormais.
En fait, cette dernière phrase est fausse. Je devrais plutôt dire : "tant je ne m'appartiens plus"! J'appartiens désormais (quand je dis "je", cela signifie... le peu qui reste de masculin en moi !) à Madame Sainte Ange, qui règne naturellement en Maîtresse absolue sur ma "masculinité"!

Provisoirement, j'ai fermé la cage avec un cadenas.

Aujourd'hui, j'ai remplacé ce cadenas par un padlock... le dernier de la série des 416; la prochaine fois, on attaquera la série des 471. Jusqu'où irons-nous, Madame et moi?

Le temps passe... le temps béni de mon appartenance à Madame!

Le temps heureux où, à chaque minute, je prends conscience de l'abandon de mon identité et de ma personnalité, à un être infiniment supérieur : Madame Sainte Ange.


Je ne sais pas quand et comment cela prendra fin... Parfois, il me semble que la conclusion pourrait prendre une forme voisine de celle-ci!

Avec des "noisettes" ... naturellement "dépoilées" pour ne pas irriter  Madame... et totalement asséchées par des mois et des mois d'une chasteté bien méritée !

 
Quant à la main de Madame... je la connais  bien plus élégante... mais toute aussi déterminée!

Merci Madame d'accepter votre charge de propriétaire avec une telle élégance souriante.