Récemment, j'ai comparé Madame à une dompteuse... en assimilant ses lopes aux animaux des cirques.
Ce n'était bien évidemment pas une comparaison. Les animaux ne choisissent pas leur destin. Ils le subissent, dans des conditions que nous ne pouvons bien souvent que réprouver.
Alors que nous, nous les lopes de Madame, en revanche, nous courrons toute notre vie pour atteindre l'extase de l'appartenance totale et du dressage absolu au service d'un être sublime... Madame!
Seule l'obéissance assimilée nous unit donc aux animaux du cirque!



Oui Madame, je vous imagine en dresseuse des galères. Sublime de beauté et d'une immense supériorité! Rayonnante d'une autorité à la fois brutale... et tellement séduisante!













Je rêve également d'être tenu en laisse par vous et de vous voir m'octroyer mon "nonos" pour avoir supporté, sans gémir ni faiblir,  plusieurs semaines d'encagement!







Mais je vous crois aussi capable d'exercer vos talents dans la motivation... plutôt que dans la récompense !










A moins que le servage de la lope soit tellement ancré dans l'ordre des choses, que vous n'ayez plus qu'à en récolter les fruits... sans plus avoir à user du fouet !

Votre rêve réalisé... et le nôtre exaucé incontestablement!








Je rêve enfin au jour, Madame... où je serai autorisé à vous offrir des fleurs... dans cette situation d'appartenance totale... ne recevant en échange que ce regard chargé d'un mépris hautain, mêlé d'une sévérité intacte!









Merci Madame de m'avoir autorisé à vous imaginer sur les chemins du dressage !